LE FESTIVAL ET LA RECHERCHE UNIVERSITAIRE
L’association GLOBE a eu pour premier partenaire l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, particulièrement l’UFR de médecine et ses étudiants. La rencontre avec son recteur Lamine Gueye a été déterminante.
Partageant la même vision du développement croisé et interculturel, l’association et l’université ont pour objectif d’impliquer les jeunes chercheurs dans les domaines représentés par l’UGB. Pendant l’année, des stages et des déplacements avant, pendant et après le festival, encadrés par des professeurs, permettent une application pratique des éléments théoriques enseignés. Tout un processus s’installe qui assure le partage efficace des expertises entre professeurs et membres de l’association GLOBE pour un meilleur rayonnement des retombées directes et indirectes du festival sur la région du Fleuve.
Aujourd’hui, les Associations GLOBE et GSCD sont aussi en lien avec le Master Tourisme de l’Université Paris Sorbonne Nouvelle. Un groupe de pensée – « think tank »- réunit des étudiants motivés pour réfléchir aux problématiques du développement par le tourisme, durable et solidaire. Leur recherche s’appuie sur un cas concret : Le Festival A Sahel Ouvert.
L’UFR Civilisation Religion Art et Culture (CRAC) est très naturellement mobilisé dans le développement et les réflexions liées au coeur de notre démarche: l’accès à la culture.
Enfin, en 2016, la rencontre avec le collectif OMENALAB, incubateur d’initiatives culturelles pour le développement en Afrique, ouvre une porte vers l’université d’Harvard (Boston-USA). Ses fondateurs sont tous diplômés de la prestigieuse université américaine. Nous réfléchissons ensemble au modèle de développement à créer.
Un véritable réseau de recherche se développe, de l’Université Gaston Berger à La Sorbonne en passant par Harvard, pour qu’au service du développement dialoguent art, culture et tourisme.